lunes, 11 de agosto de 2014

L' adieux

Pour faire ses adieux à cet blog, je vous donnerais une petite sélection des films français (ou en français) que je bien aime, alors j’adore le cinéma (et qui pas?). Je dois dire que quelques filmes peut être un petit bizarre pour certains mais... « les gouts et les couleurs, ça ne se discute pas » !

Le cours est presque fini mais nous savons bien que cela n'est pas le final pour nous comme apprentis. Alors, j'espère que ces films vous aident a pénétrer plus avant dans la culture en français et, parfois, vous inspirent pour vôtres futures classes. 

A tout à l’heure!

g.





L'animation française et des meilleures du monde, voici un film du magnifique Sylvain Chomet : Les Triplettes de Belleville (2003). Je vous recommande aussi L’illusionniste (2010), du même réalisateur. Dans ces films il n’y a pas beaucoup de dialogues, dont ils sont très faciles de comprendre sans substitues!

 







Trois couleurs est une trilogie du réalisateur d’origine polonaise Krzysztof Kieslowski qui explore les trois idéales de la République : liberté, égalité et fraternité à travers de la vie de leur personnages. Elle est inspirée du trois couleurs du drapeau française : Bleu (1993), Blanc (1994) et Rouge (1994).




Leolo (1992) est  une vraie chef d’ouvre du réalisateur canadien Jean Claude Lauzon, malheureusement tué prématurément dans un accident d'avionnette. Un super film qui nous montre d'une façon très belle que l'enfance n'a pas à être le période plus douce de la vie.  






Delicatessen (1991), de Jean-Pierre Jeunet - (Amélie, 2001)- est un mélange de science-fiction, horreur et humour noir. Un film vraiment bizarre mais très amusant! 





Latcho Drom (1993) est une expression romani qui signifie en français « bonne route ». A travers des musiques, chant et danse, le film suit la route des Roms et de leur histoire, du Rajasthan à L’Andalousie. Le film a été sélectionné dans le Festival de Cannes 1993. Un film indispensable pour les mélomanes et les voyageurs.





Un prophète (2009) est un film qui renouvelle le genre de gangsters. Un puissant drame sur le monde de la criminalité et de la mafia de la Corse. Il a représenté la France aux oscars 2010 et a gagné en tout 24 prix entre autres le Grand prix du jury au Festival de Cannes 2009.

domingo, 10 de agosto de 2014

Sur les médias de masse

 

« La fonction primaire de la communication écrite est de faciliter l’asservissement.» 

 

Claude Lévi-Strauss

 

Il est evident que quand on ecrit, on essaye de persuader ou conveincre notre interlocuteur de ce qu'on pense ou défendre. Et les médias de masse ne sont pas une exception. Acun média est independent, chaqu'une est engagé avec les idées du grupe à qui répresente, soit le pouvoir ou le contre-pouvoir. 


On a discuté sur les grandes groupes de comunication -des corporations qui gèrent des informations- en France, alors je crois qu'on peut extrapoler ça aux autres pays de notre entourage. Ces groupes, comment pouvait-il en être autrement, tendent à montrer une realité favorable a leur intêrets, c'est-à-dire, qui les aide à créer une opinion publique en faveur du status-quo. 

On a discuté aussi sur la objetivité et nous nous demandions la question suivante: est-ce que l'information peut-être objective? Quand on informe sur le nombre de tués dans une catastrophe naturelle, par example, c'est facile respecter l'objectivité. Cependent, donner des informations objectives sur, par example, les mesures du governement contre une catastrophe économique, c'est pas si simple. 

Á mon avis, il n'est pas possible de parler d'objectivité ou subjectivité sur le terraine socio-politique -aujoud'hui économique-. Au contraire, on doit parler de médias critiques ou pas critiques avec l'état de choses, plus ou rien engagés avec le changement ou avec des autres alternatives.

Avec ce horizon, il semble très difficile d'avoir la possibilité d'obtenir des informations vraiment indépendantes... 

Hereusement, aujourd'hui nous avons l'access à plusiers de médias pour contraster des informations. Même pour construire et partager des informations avec des autres. Aussi pour apprendre sur  l'histoire, la politique, l'economie, la culture, tellement importants pour se former une propre opinion.         

Les médias de masse font ce qui est nécessaire pour faciliter l'asservissement - l'anthropologue nous avertit- car justement ça c'est leur fonction. La question est si on convenons ce qui nous nous asservissions - un systeme conformiste ou, peut-être, une cause tranformatrice-. 

Je vous laisse cette fois avec une scéne du film Network (1976) de Sidney Lumet. À mon avis, un superb film qui s'approche d'un façon très intelligente à ce qu'on a discuté sur ce post. 

 bientot!






     

" L'important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage"




Cette semaine, nous avons vu La Haine (Matieu Kassovitz, 1995), un film qui a été tourné il y a presque 20 ans, alors il bien représente la realité des milliers des jeunes et familles qui d'aujourd'hui habitent dans la périphérie des villes globales. Il s'agit alors d'un film vraiment dure mais nécessaire.

La Haine nous montre un jour dans la vie de Vinz, Saïd et Humbert, trois jeunes qui, comme tous les jeunes, ont des rêves, des expectatives et des projets pour le futur. Mais, quelles sont les rêves de ces jeunes? Nous ne les conaissons même pas. Vinz, Saïd et Humbert ne peuvent pas se permettre ça donc ils bien savent que leur avenir et déjà ecrit pour lui. Leur futur reste dans la périphérie d'un société qui ne les accepte pas, qui n'accepte pas la pauvreté, qui l'expulse en dehors. 


Mais ils bien savent aussi qu'il y a un autre monde qui ne les reconnaître pas; ce qui les achète leur drogues et qui, effectivement, a le droit de s'amusser et de progresser dans unes conditions de vie très différentes de leurs. La déconnexion entre ces deux mondes est total. L'égalité de chances n'existe plus pour une generátion de Français (ces jeunes ne son pas des immigrés) qui n'est pas cappable de trouver une identité comune.

La Haine c'est l'histoire de margination social, des Fraçaises (Anglaises, Suédoises...) de seconde zone, victimes de l'Histoire et leur origines, de l'inegalité au premier monde. C'est l'histoire d'un chute inevitable qui on ne veut pas regarder, et dont l'atterrissage est vraiment dramatique.


"La répression ne résout pas le problème de cette jeunesse, au contraire, elle la provoque et la pousse vers une révolte plus grande. C’est une nouvelle politique qu’il faut, une politique qui reconnaisse la réalité et s’engage à faire entrer cette population dans l’avenir de ce pays, car ces jeunes le disent et le clament, leur pays c’est la France. Mais la France ne les entend pas toujours." 
 
Tahar Ben Jelloun, 2005


Pour finir, j'aimerais partager avec vous cette documentaire sur le film: Les 10 ans de La Haine (2005) qui je bien recommande a tous les interesés sur le film et cette réalité.







      




lunes, 4 de agosto de 2014

Mon histoire numérique







La semaine dernière nous avons partagé nôtres histoires numèriques avec des autres camarades. Je pense que les videos nous ont permis practiquer la langue d'une façon très drôle. Malgrè les problèmes que les tecnologies entraînent - malhereusement je ne me bien entendre avec eux- je m'amusé beaucoup de cette activité. On a pu connaître un petit peux mieux nôtres camarades: leur amis, leur intérêts, leur origines... On a pu aussi developper nôtres capacités créatives et apprendre à utiliser des outils utiles pour nôtres futures classes comme profeseurs.

Mon histoire numèrique s'agit d'un voyage avec deux bonnes amies il y a déjà...deux annés!!! Nous sommes parties avec la voiture de Madrid jusqu'à l'Ecosse. On a mis autour trois jours et vu beaucoup de lieux differents. On a partagé des conversations interesantes, beaucoup des rires et, en deffinitive, des moments inoubiables. Je suis alors très contente d'avoir cette video pour la posterité! Pourvu que je puisse faire quelque chose similaire bientôt, donc je bien aime les adventures improvisées et, naturellement, mes amies!

Alors, ça c'est tout pour aujourd'hui donc...à la prochaine!